Vu sur le site d'information Rue89, la production audiovisuelle et cinématographique en général affichent un bilan carbone catastrophique. Eclairage, voyages en avion, groupes électrogènes et pollution des sites de tournage ont un impact environnemental dangereux.
Pour exemple, le tournage de 1 000 épisodes de la série marseillaise « Plus belle la vie » représentent 70 000 litres d'essence consommée pour plus d'un million de kilomètres parcourus par les véhicules de la production, selon Rue89.
Dès lors, certains professionnels ont décidé de prendre les choses en main.
Parmi eux, la célèbre série américaine « 24h chrono » a décidé de développer les transports en commun, le tri des déchets, etl'utilisation de lampes basse consommation. ceci ayant pour résultat une baisse de 43% des émissions totales de gaz à effet de serre (GES) générées lors des tournages. Le reste des GES est compensé par le financement de projets éoliens en Inde. Le tout ayant pour résultat définitif un bilan carbone apparemment neutre !
En France, les professionnels se mobilisent via la démarche d'Ecoprod oeuvrant "pour des productions cinématographiques et audiovisuelles respectueuses de l'environnement". Cette initiative réunit dans un premier cercle TF1, France 5, le groupe Audiens, la commission du film d'Ile-de-France, l'Ademe et la direction régionale de l'industrie, de la recherche et de l'environnement d'Ile-de-France (Drire).
L'objectif d'Ecoprod : Offrir aux 6 000 TPE de production de France les moyens nécessaires à l'essor de tournages responsables et économiques.
Beau Challenge !
http://www.rue89.com/
http://www.sudcongresconseil.com/
Pour exemple, le tournage de 1 000 épisodes de la série marseillaise « Plus belle la vie » représentent 70 000 litres d'essence consommée pour plus d'un million de kilomètres parcourus par les véhicules de la production, selon Rue89.
Dès lors, certains professionnels ont décidé de prendre les choses en main.
Parmi eux, la célèbre série américaine « 24h chrono » a décidé de développer les transports en commun, le tri des déchets, etl'utilisation de lampes basse consommation. ceci ayant pour résultat une baisse de 43% des émissions totales de gaz à effet de serre (GES) générées lors des tournages. Le reste des GES est compensé par le financement de projets éoliens en Inde. Le tout ayant pour résultat définitif un bilan carbone apparemment neutre !
En France, les professionnels se mobilisent via la démarche d'Ecoprod oeuvrant "pour des productions cinématographiques et audiovisuelles respectueuses de l'environnement". Cette initiative réunit dans un premier cercle TF1, France 5, le groupe Audiens, la commission du film d'Ile-de-France, l'Ademe et la direction régionale de l'industrie, de la recherche et de l'environnement d'Ile-de-France (Drire).
L'objectif d'Ecoprod : Offrir aux 6 000 TPE de production de France les moyens nécessaires à l'essor de tournages responsables et économiques.
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